Problème de la constante cosmologique et densité surfacique de puissance

Dans cet article, je vais tenter de mettre en évidence une potentielle bizarrerie dimensionnelle de la catastrophe du vide, autre dénomination du problème de la constante cosmologique. Cet article est spéculatif et basé sur un aspect numérologique.

Le rapport densité volumique d’énergie de la mécanique quantique sur densité volumique d’énergie de la constante cosmologique est un grand nombre sans dimension en 10^122, avec :

4.6333*10113 j/m3

densité volumique d’énergie de la mécanique quantique.

et :

5.324*10-10 j/m3

densité volumique d’énergie de la constante cosmologique

où la valeur de la constante cosmologique est environ (source : wikipedia.org)

La bizarrerie dimensionnelle consiste à calculer la densité surfacique de puissance de Planck. Sa valeur est suffisamment grande pour être rapprochée à 2π près de la valeur de la catastrophe du vide avec un écart d’environ 0.3%, mais en ayant la dimension d’une densité surfacique de puissance :

En tenant compte de l’ordre de grandeur nécessaire pour obtenir cette valeur, il semble difficile de soutenir qu’il ne s’agit que d’une simple coïncidence, je fais la supposition que l’on peut retenir cette dernière valeur comme une valeur exacte de la catastrophe du vide. Avec cette hypothèse il parait possible de proposer un valeur exacte de la constante cosmologique. Cela fera l’objet de l’article suivant.

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