dernier édit : 09 mars 2023
Avant d’examiner le cas de l’effet Casimir avec l’énergie du point zéro et la constante cosmologique, voyons d’abord le cas du débit massique de Planck en cosmologie :
- Débit massique de Planck en cosmologie.
essai de repère : espace 4D plat où les axes de temps sont confondus avec les 3 axes de longueur :1
source : Quantum and Relativistic Viewpoints on the Origin of the Universe and Its Evolution.
RH = tH * lpl / tpl
MH = tH * 1/2 mpl / tpl (MH : Masse univers au rayon de Hubble). édit du 20/11/2021 : On relèvera que cette masse est obtenue avec le temps de Hubble tH et le débit massique de Planck mpl / tpl . I.e. par l’ajout de la masse de la singularité du Big bang , = (1/2)mpl , à chaque unité du nombre tH/tPl qui passe. Conséquence : cette approche explique l’isotropie de l’univers. Quelque soit la direction de l’observation, on observe un « empilement » de demie masses de Planck sur une ligne de rayon de Hubble.
édit spéculatif du 19/05/2022
Le débit massique de Planck peut aussi s’écrire c3/G.
Soit en terme d’énergie c3c2 / G = c5/G. On peut peut être supposer que ce surplus d’énergie par unité de temps tH est « contrebalancé » par une énergie inverse , Λ’=4.G/c5, qui serait l’énergie noire en valeur dans le modèle ΛCDM , avec une approximation sur les dimensions. (Voir cet article : Essais de valeur exacte de la constante cosmologique)
En effet, l’énergie de la sphère de Hubble est :
EH = tH 1/2 c5/G
et l’unité de Λ’ = 4 G/c5 est kg-1.m-2.s3. Cette unité est proche de l’inverse de l’autre unité d’énergie, le Joule, à une unité de temps près. (1 J= 1 kg.m2.s-2). Nous rencontrons à nouveau un problème de cohérence dimensionnel
ces problèmes de cohérence dimensionnels ( toujours avec le même ratio par rapport aux mesures ) trouvent peut être leur origine dans notre ignorance de ce qu’est l’énergie noire.
édit du 15/01/2022
2. effet Casimir avec la force de Planck et la constante cosmologique.
de même on a avec la masse linéique de Planck (c2/G) et la force de Planck (c4/G) pour H=67.66 km/s/Mpc, ΩΛ=0 .6889 et VPl=lPl3:
ou encore :
édit du 22 février 2022
Du point de vue de l’interprétation, il n’existe pas de « plaques physiques » susceptibles de jouer un rôle de la surface en cosmologie pour l’effet Casimir . En revanche il parait acceptable de supposer que 1/dS joue le rôle de l’énergie de dimension L-2 en cosmologie ou en théorie quantique des champs. Ce changement de « rôle » serait comparable à celui que l’on a opéré avec la constante cosmologique Λ initialement prévue pour rendre compte d’un univers statique pour finalement , en changeant de coté dans l’équation, rendre compte de l’accélération de l’expansion de l’univers.
à noter la conséquence de cet essai de démonstration théorique pour la solution mathématique du problème de la constante cosmologique de ce blog.
source of the english version : https://vixra.org/abs/2112.0121
avec lPl-2 = 3.83 1069 m-2, énergie du vide ( =énergie du point zéro) dans la théorie quantique des champs
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